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A Paris se trouve le « palais de Tokyo ». A Tokyo ne se trouve pas le « palais de Paris ». C'est à Gunma qu'est apparu le « palais des paris ». Le « palais des paris », c'est le palais de tous les paris, les paris excentrés, les paris audacieux, les paris d'amis, les paris capitaux, les paris risqués mais surtout les paris gagnants. Le « palais des paris » est un hommage à la poésie involontaire des traducteurs automatiques franco-japonais, et un hymne aux chances inhérentes des incompréhensions et décalages culturels multiples. Le « palais des paris » n'a pas un fonctionnement entièrement prédéterminé, c'est le palais des possibles et des appropriations diverses. Le deuxième étage est un espace de 45m² pouvant servir d'atelier et de lieu événementiel (exposition, performance, conférence...). Le rez-de-chaussée est un petit appartement de 18m² pouvant accueillir un artiste le temps nécessaire au développement d'un projet spécifique. La terrasse au 3e étage est un lieu extérieur investissable permettant de prendre de la hauteur. Le « palais des paris » n'est pas une citadelle repliée sur elle-même. Il a la spécificité d'être une interface ouverte à tous les contextes propres à la région de Gunma, ces différentes villes et sa montagne luxuriante. A 150m de la gare de Kita-Takasaki, elle-même à une station de la gare Shinkansen de Takasaki, la mégalopole Tokyoïte est alors toute proche. Enfin, le « palais des paris » possède des relations durables avec un grand nombre d'acteurs de l'art contemporain en France et au Japon. Pour n'en citer que quelques uns : l'ISBA de Besançon, l'institut français du Japon, l'association jeune création, de nombreux collectifs d'artistes... Frédéric Weigel & Yoshiko Suto: co-fondateurs et co-directeurs du palais des paris. instagram du « palais des paris » :
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